J’inaugure ce blog de notre voyage en Nouvelle-Zélande.
Et puisqu’on n’est pas encore à 18 546km de Paris (d’où le nom du blog, oh oh oh !), je vais parler de ce que je peux pour le moment : les préparatifs.
Selon tout notre entourage et toute personne à qui on parle du voyage, on devrait être super-excités et avoir préparés plein de choses… FAUX !
Non seulement il paraît que je lui ressemble, mais en plus je le cite…
On se prépare, plus ou moins hâtifs
A part :
- quelques paperasses (visa, permis international, change)
- quelques achats (sac à dos, gourde… et ordi de gaming – le sens des priorités !)
- quelques éléments prévus pour l’arrivée (AirBnB pour 7 nuits à Auckland, paperasses à faire en priorité, endroits où trouver des jobs saisonniers/wwoofing, assurance à prévoir)
Il n’y a pas tant de trucs à préparer pour là bas pour le moment.
Par contre, il y a énormément de paperasses à prévoir en France avant de partir : Pôle Emploi, déménagement, revente de trucs non déménageables, renvoi de courrier, fin de l’assurance, rendez-vous chez le médecin, vaccins, arrangements avec la banque, procuration, préparation de liseuse, de Spotify, récupération de films/jeux, dilemme des fringues à emporter ou non (on sait déjà qu’on prendra trop de trucs), organisation pour revoir un peu tout le monde avant de partir… et bien sûr créer ce blog.
Une image du vrai inventeur de la phobie administrative pour illustrer
Depuis qu’on a quitté nos jobs (j’ai déjà expliqué pourquoi ici), on est un peu désœuvré. Ça laisse du temps pour s’occuper de ça, pour ne pas faire la liste de choses qu’on avait prévu de faire avant de partir et pour s’ennuyer un peu.
On devrait être très excité… mais étant assez négatif de nature, j’ai plutôt tendance à stresser en me disant que tout devient réel, et m’attrister un peu en pensant que les gens qu’on revoit, on les reverra pas avant longtemps. Voire peut-être plus du tout pour certains.
Haut les coeurs quand même, on part au pays des elfes et des hobbits !
Et voilà, ce 1er article a l’air triste. Ce n’est pas le cas, je suis heureux de partir à l’aventure. La mélancolie me semble être une phase normale et même un bon moteur.